Paris 2024 : le top des rumeurs de la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques

Paris 2024 : le top des rumeurs de la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques

Depuis quelques semaines, la cérémonie d’ouverture des JO Paris 2024 attise les curiosités. Il faut dire que le talentueux Thomas Jolly, directeur artistique des cérémonies de Paris 2024, travaille depuis deux ans sur cet événement. Sur les réseaux sociaux, de nombreux pronostics ont été faits quant à la participation de certaines personnalités. Cette semaine, les internautes et les journalistes ont pu apercevoir Lady Gaga et Céline Dion dans les rues de Paris. Ce ne sont pas les seules personnalités à avoir été mentionnées en ligne, où les internautes ont spéculé ces dernières semaines en partageant leurs meilleurs pronostics et leurs aspirations.

Qui a été le plus évoqué en ligne ? Voici le top des personnalités au cœur des rumeurs sur ces 30 derniers jours pour la cérémonie d’ouverture des JO de Paris 2024.

 

Céline Dion, Snoop, Lady Gaga, Aya Nakamura et Michael Jordan sont au top des conversations

 

Parmi les célébrités les plus citées et qui génèrent le plus de réactions en ligne, en tête on note :

 

  • Céline Dion, que l’on a aperçu a l’aéroport du Bourget mardi matin, et vu filer chez la Maison Dior.
  • Lady Gaga quant à elle a été aperçue dans les rues de Paris puis en pleine répétition sur une scène flottante sur la Seine lundi dernier.
  • Snoop a été également confirmé comme porteur de la flamme Olympique à Saint-Denis, il est arrivé à Paris lundi, et ne s’en est pas caché sur ses réseaux sociaux.
  • Longtemps en tête des prédictions, la présence d’Aya Nakamura semble bien confirmée. La chanteuse se produira ce soir accompagnée des musiciens de la Garde Républicaine et des choristes du Chœur de l’Armée française.
  • Enfin, Michael Jordan prévoirait de se rendre à Villeneuve-d’Ascq pour les épreuves de basket.

 

D’autres noms ont circulé comme Dua Lipa, Ariana Grande, Rim’K, Jin et Jean-Jacques Goldman

Parmi les noms qui ont le plus circulé cette semaine, on a vu des artistes comme Dua Lipa, Ariana Grande, Rim’K, Jin, Jean-Jacques Goldman, Pharrell Williams, Yseult ou encore Marc Ceronne. Et des athlètes ou personnalités publiques comme Zinédine Zidane, Marie-José Perrec, Thomas Pesquet, Omar Sy ou encore Jean-Claude Van Damme. Mais rien n’est confirmé à date.

 

Les spéculations ont animé les conversations et les contenus en ligne ces dernières semaines. Nous avons hâte de voir si les pronostics des internautes se confirment ce soir. Bonne célébration !

Mieux comprendre vos audiences avec le search

Mieux comprendre vos audiences avec le search

Vous êtes-vous déjà questionné sur les traces que nous laissons sur le net ? Quand nous ne nous exprimons pas que faisons nous ? Prenez-vous en exemple. Faites vous partie de l’audience passive, qui ne laisse pas de commentaire, ne publie pas et engage rarement ? Est-ce que cela veut dire pour autant que vous êtes absent d’internet. Certainement pas ! Vous faites partie de l’audience silencieuse. Pour autant, vous avez une présence et une empreinte. Après tout, même les plus vocaux des internautes ont aussi une empreinte silencieuse et cette dernière s’avère riche et stratégique pour les marques. Cet article va dévoiler comment mieux comprendre vos audiences avec le search, qui représente une part non négligeable de l’empreinte silencieuse des internautes.

Oubliez l’exhaustivité à tout prix…

Depuis l’arrivée des réseaux sociaux la conception des études de marché a fortement évolué. À tel point, que la data sociale et particulièrement celle des réseaux sociaux, est devenue indispensable pour mettre en place les stratégies marketing, de communication et parfois même de développement produit.

C’est ainsi que les marques se sont avant tout concentrées sur ce que les gens disent. En effet, le Graal sacré du social listening est souvent l’exhaustivité des conversations. Il faudrait donc tout capter, le moindre commentaire, article ou post. L’exhaustivité de la captation n’a en fait jamais été possible pour des raisons techniques. Toutefois, il y a 10 ans, alors que nous étions au début du social listening, nous étions plus proches des désirs d’exhaustivité que nous le sommes aujourd’hui. Les « vieux millennials » se souviendront de l’époque où le paysage digital était relativement simple et restreint : Twitter, Facebook et le petit nouveau de l’époque Instagram. Et pendant plusieurs années, nous pouvions capter relativement librement. Puis sont arrivées la RGPD et les restrictions imposées par les plateformes limitant l’accès à la donnée. S’ajoute à cela, une évolution ultra rapide des plateformes (certaines sont de moins en moins stables) et le développement des formats vidéo et éphémères (stories, shorts, reels, etc.) La captation de la donnée devient donc plus complexe, restreinte et coûteuse. Les marques voient ainsi le rêve d’exhaustivité s’éloigner inlassablement.

L’ancien paysage digital, stable et avec un accès peu restreint à la data nous a fait oublier que tout le monde ne s’exprime pas en ligne et surtout que personne ne fait que s’exprimer.

… Et pensez plutôt pertinence.

Si nous tâchons d’aller au-delà des conversations, nous trouvons les empreintes silencieuses. Ces empreintes sont laissées par tous, elles peuvent être analysées pour délivrer de précieux insights. La connaissance et les insights n’ont jamais été dépendants d’une exhaustivité pleine et entière. Pour avoir des informations stratégiques, il s’agit bien de récolter le type d’information pertinent à votre enjeu, vos stakeholders, votre catégorie. Certains signaux faibles, par exemple, ont prouvé leur importance ô combien stratégique.

Chez Digital Insighters, nous sommes convaincus par notre approche holistique des insights que nous appliquons pour nos clients depuis plusieurs années. Nous croisons des typologies variées de données de façon à avoir une vue plus détaillée et une meilleure compréhension des audiences, des opinions et des comportements que nous analysons en ligne.

Apprendre à repérer et lire l’empreinte digitale de vos audiences. Que faut-il regarder?

Nous regardons notamment les vues, l’engagement, les comportements et les recherches.

En effet, ce n’est pas parce que vous ne parlez pas, que vous ne voyez pas, « likez », suivez, lisez ou ne cherchez pas de contenu. En outre, notez que si l’on regarde l’ensemble des marques, toutes industries confondues, nous observons que le volume des conversations diminue en faveur du volume d’engagement. Les internautes sont peut-être plus silencieux mais n’en sont pas moins actifs ou engagés avec le contenu qu’ils apprécient.

C’est pourquoi il y a des choses à apprendre sur :

  • Le fait qu’un sujet ne génère peut-être pas beaucoup de volume mais peut fortement engager.
  • Le type de post/image ou vidéo qui génère de l’engagement.
  • Le fait qu’une audience a certains intérêts (qui suivent-ils, quelles chaînes regardent-ils, quels radio/podcasts écoutent-ils ? )
  • Ce qu’ils révèlent dans leurs bios.
  • Le fait qu’il y ait un grand nombre de threads sur un sujet sur Reddit et le nombre de visites que le thread génère.
  • Le fait qu’un sujet soit particulièrement recherché dans Google ou Bing.

Il y a une science et une technique pour lire, croiser et interpréter ces données. Digital Insighters a développé sa propre méthodologie pour étudier l’empreinte silencieuse des consommateurs et la croiser avec les conversations.

La puissance des données search, Top 11 des typologies d’insights

La donnée search nous apporte un autre point de vue sur le consommateur. Une fois recroisée avec les conversations, elle permet d’enrichir notre analyse et de mieux comprendre les audiences. Ainsi nous pouvons répondre de manière plus précise aux questions et problématiques des clients.

Notre top 11 des insights récoltés grâce à la search :

  1. Les retours en temps réel sur ce que les consommateurs recherchent activement. Cette information nous permet d’obtenir une vue dynamique des intérêts de l’audience.
  2. Les difficultés rencontrées par les consommateurs dans le cadre d’un service, d’un loisir ou encore d’un produit. Inquiétudes, incertitudes ou peurs au sujet d’un produit, d’une posologie, etc.
  3. Révéler le différentiel de connaissance entre les informations et contenus existants et ce que retiennent vos consommateurs. En analysant cette brèche, nous mettons en lumière les réponses et solutions recherchées par l’audience qui ne sont pas ou pas assez exploitées par la marque.
  4. Inspirations pour la recherche et le développement produit et/ou les services. Mise en avant des souhaits et attentes des clients permettant de faire évoluer l’offre.
  5. Capter les signaux d’intention en analysant les produits recherchés indiquant un plus fort potentiel de désir d’achat.
  6. Points d’entrée principaux lors de la recherche d’un produit (boutiques, revendeurs (en ligne ou physique), villes, prix, etc.)
  7. Conseils et recommandations sur la stratégie de contenu owned.
  8. Conseils et recommandations sur la stratégie de contenu Paid + stratégie de ciblage.
  9. Conseils et recommandations sur la stratégie de SEO. En identifiant les pics de volume autour de certains mots-clés, comparaison avec la concurrence et la compréhension des comportements utilisateurs.
  10. Conseils et recommandations sur l’amélioration des méthodes de suivi de vos campagnes. En regardant sur la période de la campagne si les recherches de produits augmentent.
  11. Analyse prédictive et anticipation des futures tendances, comportements ou dynamiques des marchés en se basant sur les schémas récurrents de recherches.

La conviction de Digital Insighters.

L’observation et l’analyse des empreintes silencieuses font partie intégrante de notre approche holistique des insights. Avec certains de nos clients nous allons encore plus loin en croisant leurs données internes telles que les analyses de terrains ou encore les données de trafic, de vente, etc.

Notre conviction est que les conversations ne sont que la partie émergée de l’iceberg. Depuis 10 ans et grâce à l’évolution des technologies à notre disposition, nous avons accès à des données invisibles auparavant. C’est pourquoi nous sommes convaincus qu’il ne faut plus compartimenter notre vision de la data digitale. Ne plus construire nos rapports autour des datasets mais organiser notre pensée, l’histoire de nos rendus autour de vos questions et problématiques en tant que marque.

Naturellement, le brief est toujours le point de départ, mais il n’impacte pas nécessairement la structure de l’étude. Cette dernière est très souvent pensée sur la base des typologies de données.

Notre approche nous permet de vous raconter l’histoire de vos consommateurs et non l’histoire de la connexion des sets de données. Et cette histoire ne peut être complète que si nous prenons en compte l’empreinte silencieuse de vos consommateurs.

En conclusion, nous ferons référence à JRR Tolkien : « Tout ce qui est or ne brille pas, Tous ceux qui errent ne sont pas perdus » que nous pouvons adapter en « Tous ceux qui parlent ne reflètent pas tout, Tous ceux qui se taisent ne sont pas absents« .

L’IA s’invite aux Jeux Olympiques Paris 2024 : Qu’est-ce que cela signifie pour les athlètes et les spectateurs ?

L’IA s’invite aux Jeux Olympiques Paris 2024 : Qu’est-ce que cela signifie pour les athlètes et les spectateurs ?

Même les Jeux Olympiques ne peuvent échapper à la promesse de l’IA. À quelques mois des Jeux de Paris 2024, le Comité International Olympique (CIO) vient de dévoiler sa stratégie autour de l’intégration de l’Intelligence Artificielle (IA) dans le sport. Le CIO a expliqué l’impact que l’IA peut avoir sur le sport et comment l’organisation a l’intention de diriger la mise en œuvre mondiale de l’IA dans le sport.

Le CIO a expliqué utiliser l'IA aux Jeux de Paris 2024 pour 4 objectifs

Le 19 avril dernier, le CIO a dévoilé sa stratégie IA pour tirer parti de cette technologie en constante évolution. Voici les 4 objectifs évoqués :

 

  • Trouver et sélectionner des athlètes talentueux
  • Aider les compétiteurs à élaborer des programmes d’entraînement personnalisés
  • Juger et arbitrer certains matchs
  • Créer des expériences individualisées pour les spectateurs

Comment cela fonctionnerait-il ?

Deux exemples ont été dévoilés lors de cette annonce.

Dans un exemple, l’IA a suivi un athlète lorsqu’il plongeait dans l’eau, fournissant des informations en temps réel sur le nombre de rotations qu’il a effectuées ainsi que sa hauteur maximale. Cette technologie pourrait aider les juges à donner des retours plus précis et impartiaux, et aider les athlètes à comprendre pourquoi ils ont reçu une note particulière.

Dans un autre exemple, un robot a été entraîné à jouer au ping-pong dans le style du double champion olympique Xu Xin. Il a ensuite utilisé le modèle pour jouer contre lui-même lors de matchs d’entraînement.

Le recours à l'IA lors des JO Paris 2024 a déjà généré des controverses

Des associations de défense des libertés individuelles craignent des abus concernant l’utilisation de caméras alimentées par l’IA pour détecter les menaces de sécurité (repérer les colis abandonnés ou les mouvements de foule) lors des Jeux Olympiques de Paris cet été.

Le champion de triathlon anglais Alistair Brownlee, même s’il est enthousiaste à l’idée de la promesse de l’IA, a déclaré qu’il était inquiet que certains emplois olympiques soient remplacés. « Utiliser l’IA pour aider à juger rendra les choses plus justes », a-t-il déclaré « mais comment s’assurer que l’IA vient en aide aux juges plutôt que de les remplacer ? ».

L'IA impacte toutes les industries, et soulève des préoccupations de façon récurrente

Les IA sont en train de transformer de manière profonde toutes les industries, y compris celle du sport. Leur capacité à traiter de grandes quantités de données, à identifier des schémas et à apprendre de manière autonome redéfinit les normes de productivité et d’innovation. Les IA ouvrent la voie à un avenir où l’innovation est omniprésente, offrant des opportunités de croissance et de transformation à toutes les industries.

Cependant, l’adoption généralisée des intelligences artificielles soulève également des préoccupations récurrentes quant à la protection de la vie privée et à la sécurité des données, ce qui peut influencer la confiance des consommateurs envers les marques utilisant ces technologies, et à l’éventuelle marginalisation des travailleurs dont les emplois sont automatisés.

Dans ce contexte, les préoccupations récurrentes des internautes et des associations défendant leurs droits doivent être intégrées dans la réflexion autour de l’intégration de toute IA à un business. D’autre part, une veille et un monitoring attentifs sont essentiels pour accompagner les nouvelles annonces faites par les marques ou les entreprises afin de pouvoir réagir de façon proportionnée et au bon moment.

Quels seraient les plans derrière le re-branding de Twitter sous X ?

Quels seraient les plans derrière le re-branding de Twitter sous X ?

Le changement, perçu comme soudain, de nom et d’identité de Twitter pour passer à X a provoqué une vague de questionnements sur les raisons qui poussent le CEO, Elon Musk, et ses dirigeants à prendre cette décision. Quand certains jugent la nouvelle identité, d’autres spéculent sur les ambitions qui se cachent derrière ce changement drastique.

 

Twitter devient X, Elon Musk affirme l’ambition de créer un marché en ligne mondial.

Elon Musk a officiellement rebrandé son entreprise Twitter en X la semaine dernière. Le PDG de Twitter a déclaré que la nouvelle application X sera « axée sur l’audio, la vidéo, la messagerie, les paiements/banques – créant ainsi un marché mondial pour les idées, les biens, les services et les opportunités. Alimenté par l’intelligence artificielle, X nous connectera tous de manière que nous commençons à peine à imaginer. »

La déclaration reste vaste et vague car seul le logo a changé.

 

Il y a 3 hypothèses d’ambitions derrière ce re-branding de Twitter.

L’ambition : créer une « everything app »

La première repose sur des déclarations précédentes d’Elon Musk. En Octobre 2022, il a déjà parlé de créer une « application tout-en-un » similaire aux super applications chinoises WeChat ou AliPay qui combinent les réseaux sociaux, les transactions financières, les achats en ligne, et bien plus encore.

Hypothèse : Twitter a récemment restreint l’accès gratuit à son API, serait-ce pour empêcher les autres IA d’entraîner leurs modèles sur de la data Twitter ?

D’après Tech Crunch, l’entreprise a récemment restreint l’accès gratuit à son API et a mis en place d’autres restrictions pour empêcher les entreprises d’intelligence artificielle d’entraîner facilement leurs modèles sur de la data Twitter.

X (Twitter) pourrait développer des modèles d’IA avec ses propres données.

Enfin, certains spéculent que Twitter pourrait avoir l’intention de développer en interne des modèles d’IA avec ses propres données, et de créer des applications commerciales similaires à BloombergGPT.

L’accueil du nouveau nom de Twitter est mitigé, et le trafic mondial sur la plateforme se contracte.

Quoiqu’il en soit, face à ce nouveau nom, l’accueil des utilisateurs de la plateforme est mitigé, comme l’indique la teneur des publications à propos de ce changement de nom.
 

Déjà, cela fait plusieurs mois que le traffic de Twitter plonge.

 

Ces éléments confirment les conclusions de l’étude de Pew Research Center en mars 2023, selon laquelle 60% d’américains qui ont utilisé Twitter déclarent avoir fait une pause sur la plateforme pendant plusieurs semaines entre mars 2022 et mars 2023.

Et en France ?

La recherche d’alternative est clairement visible dans les conversations en ligne sur ce sujet : Mastodon, Bluesky, pour ne citer qu’eux, n’ont pas convaincu ni trouvé leur audience. Le basculement ou la potentielle désertion de Twitter n’est pas encore en cours dans l’Hexagone. D’ailleurs, certaines communautés accueillent à bras ouvert les évolutions de X (Twitter).

L’alternative la plus probable est Threads. Elle est régulièrement évoquée,  mais toujours non disponible en France ni dans l’Union Européenne à l’heure où nous écrivons ces lignes. Meta devra travailler sur une version européenne qui respecte le Règlement européen sur la protection des données (RGPD).