
Arcane illustre les nouvelles (bonnes) pratiques du marketing
Avec Arcane et son approche marketing innovante, Riot Games apporte sa pierre à l’industrie du divertissement au sens large, et va chercher des nouvelles audiences là où elles sont.
Avec Arcane et son approche marketing innovante, Riot Games apporte sa pierre à l’industrie du divertissement au sens large, et va chercher des nouvelles audiences là où elles sont.
Aujourd’hui, chacun et chacune d’entre nous a accès à une multitude de contenus, provenant de différents supports : journaux papiers, radio, télévision, internet… Ces contenus nous parviennent en flux continu et en temps réel. Dès lors, nous sommes submergés d’informations, parfois difficile à trier. C’est ce qu’on appelle l’infobésité, ou la surcharge informationnelle. Cette problématique touche les entreprises qui peinent à se démarquer pour attirer l’attention du public. Elles mettent dès lors en place des stratégies de contenus pour interpeller, surprendre, toucher leur public…
Dans ce cadre, Scoop.it a organisé la conférence « Stratégies de contenus marketing web » afin de pouvoir échanger sur les problématiques relatifs à ce sujet. La conférence s’articulait autour de 6 présentations, avec des sujets très variés mais complémentaires. Petit tour d’horizon.
Par Oussama Ammar, co-fondateur de The Family.
Le Growth Hacker est le nouveau métier à la mode. Mais qu’est ce que le growth hacking ? C’est une technique, développée dans les startups technologiques, visant à accroître significativement la croissance des utilisateurs d’un produit / service. Cette technique repose sur la faculté à trouver une approche intelligente ou non traditionnelle pour atteindre l’objectif.
Découvrez sa présentation sur slideshare.
Par Marc Rougier, co-fondateur de Scoop.it.
Petit retour sur les fondamentaux du content marketing et du partage de connaissances, avant et après l’avènement du web, avec notamment deux exemples : Intuiti et Cisco.
Pour en savoir plus, découvrez sa présentation sur slideshare.
Par Audrey Fleury, co-fondateur de Digital Insighters
Comment les data analytics peuvent contribuer aux stratégies de contenus ? C’est la question à laquelle nous avons répondu, à découvrir ici :
Par Célina Barahona, co-fondatrice de So/cult.
Si vous voulez tout savoir sur le storytelling, c’est LA présentation à lire !
Pour en savoir plus, découvrez sa présentation sur slideshare.
Par Yann Gourvenec, CEO Visionary Marketing.
Après un petit état des lieux, Yann vous présente 10 facteurs clé pour une stratégie de contenus réussie : ne pas peaufiner, éviter les contenus en silos, faire participer les experts…
Découvrez sa présentation sur slideshare.
Par Nicolas Bordas, TBWA.
Nicolas nous explique en quelques mots et avec des exemples bien choisis, la différence entre brand content, brand culture…
Découvrez sa présentation sur slideshare.
Un grand merci aux organisateurs ! On se retrouve pour le prochain numéro l’année prochaine 😉
Vous souhaitez mettre en place un dispositif de veille sur les médias sociaux. Mais où commencer ? Quels outils de social media monitoring choisir ? En l’espace de quelques années, un nombre important d’outils de monitoring ont fait leur apparition, des outils gratuits ou payants. Choisir le bon outil peut être un vrai casse-tête. Chacun d’entre eux possède des fonctionnalités différentes, répondant à certains types de besoins. Pour vous guider dans cette sélection, voici quelques clés pour bien choisir votre outil de monitoring.
Un outil de social media monitoring détecte où et quand des mots clés (comme par exemple, votre marque ou tout autre sujet) est mentionnée sur le web. Il a la capacité d’identifier l’origine de la mention (type de sites web), la date, l’importance (audience, popularité, influence) et le sentiment associé à cette mention. Certains ont également la capacité de capter et traiter les mentions de votre marque en temps réel.
Les outils de social media monitoring vont rechercher des données sur l’ensemble du web. Des millions de contenus sont créés chaque jour, et ces contenus ne cessent de croitre. Pas une mince affaire donc. Les outils de monitoring vont scanner tous les types de sites présents sur le web à la recherche des mots clés recherchés, et vont collecter ces données pour les rendre lisibles au sein d’une interface. Ces sources sont donc multiples et prennent des formes différentes. Les sources les plus utilisées sont les suivantes :
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Une première distinction entre les outils est dès lors possible. Certains se concentrent sur une seule source, d’autres vous proposent l’intégralité des sources ci-dessus. Par ailleurs, il est important de noter que tous les contenus ne sont pas accessibles ou ne le sont pas gratuitement. ₍₁₎
Afin d’écouter ce que l’on dit de vous, il vous faudra paramétrer votre outil de monitoring en créant une requête. Une requête est un ensemble de mots clés ou expressions régulières définissant ce que vous souhaitez rechercher. Vous définirez également la date et les différentes sources dans lesquelles vous voulez piocher vos données.
Une fois votre requête définie, et après que la moulinette ait fait son travail, la liste exhaustive des mentions de votre marque est affichée. L’outil réalise un premier traitement des résultats : qualifications des mentions (selon la source, la date…) et effectue une première analyse des résultats (sentiment, influence, audience…)
Quels sont les principaux acteurs ? Les acteurs émergents ?
N’hésitez pas à demander autour de vous si vos collègues, amis ou réseaux professionnels ont déjà utilisé ce type d’outils et lesquels ils peuvent vous recommander. Attention, cependant, chacun possède ses propres besoins. Des outils qui conviennent à vos relations ne sont pas forcément ceux qui vous satisferont.
Quels sont vos besoins ? C’est une question qui parait évidente, pourtant c’est la question la plus importante. La réponse à cette question va déterminer toute la suite.
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Vos objectifs sont propres à votre contexte. Soyez précis. Classifiez vos objectifs court-moyen-long terme. Consultez les autres départements et vos équipes. Ils sont concernés et ont peut-être des besoins différents des vôtres. N’oubliez pas de prendre en compte également les langues, les pays spécifiques où vos besoins sont présents.
Quelles personnes seront utilisateurs de l’outil ? En interne ou votre agence ? Avez-vous besoin d’un analyste ? Qui sera en charge des relations avec votre prestataire ?
Autant de questions auquel il vous faut répondre en amont. Les réponses obtenues vous permettent à la fois de vous organiser en interne, d’identifier les personnes en charge du projet, les compétences dont vous avez besoin et par conséquent celles qui vous manquent. Elles influencent également vos critères au moment de sélectionner l’outil de monitoring, notamment en ce qui concerne l’interface et la facilité de prise en main.
Compte tenu de vos objectifs, quels budgets êtes-vous prêts à allouer à un outil de monitoring ? Plus l’outil est performant, plus le coût sera élevé. Plus l’outil est performant, moins vous passerez de temps à traiter manuellement certains éléments. N’oubliez donc pas de prendre en compte les ressources humaines nécessaires. Car un outil seul ne suffit pas.
Il est temps de se pencher plus précisément sur les outils de social media monitoring et toutes les fonctionnalités qu’ils vous proposent. Selon vos besoins et objectifs, définissez les critères / fonctionnalités indispensables que l’outil doit posséder. Définissez également, les critères secondaires qui peuvent être les facteurs finaux de décisions, si plusieurs outils correspondant à votre première liste.
Voici une liste assez exhaustive des principales questions à se poser et des critères à considérer dans votre sélection.
Objectifs : s’assurer de la bonne collecte des données et de l’exhaustivité des sources, tel l’accès au firehose Twitter. Il serait bien ennuyant de louper une mention de votre marque à l’origine d’une crise…
Vous gérez des marques internationales. La capacité des outils à traiter plusieurs langues devient dès lors un critère important. Même si vous ne souhaitez pas monitorer toutes vos marques, dans tous les pays tout de suite, pensez à vos potentiels futurs besoins.
Objectif : s’assurer que les pays ou langues faisant partie de vos besoins sont bien traitées
Objectif : Toute pollution est une perte de temps. Assurez-vous de ne pas en perdre 😉
Objectif : Déterminer les connaissances à acquérir pour prendre en main l’outil et effectuer des requêtes pertinentes. Evaluer ainsi la facilité de prise en main de l’outil.
Objectif : s’assurer que l’outil fournit des indicateurs pertinents répondant à vos besoins. Et offre à l’analyste une certaine main sur l’outil. Restez flexibles. Vous pouvez découvrir d’autres indicateurs / fonctionnalités auxquels vous n’avez pas pensé, et qui seront utiles.
Objectif : Identifier le besoin en ressources humaines pour parer au manque de l’analyse du sentiment automatique.
Objectif : Faciliter la lecture des résultats et la personnalisation de l’outil en fonction de vos besoins
Objectif : Faciliter le partage des données en interne, les intégrer dans vos présentations…
Bien que je considère ce point comme un critère secondaire pour les besoins qui me sont propres, il peut ne pas l’être pour tout le monde. La simplicité de navigation ou le design de l’interface peuvent tout à fait faire parti des critères de décision. Après tout, vous et votre équipe, allez utiliser l’outil fréquemment. Si ce n’est tous les jours. Autant qu’il vous plaise 😉
Les modalités d’installation peuvent également prendre une place dans votre prise de décision. Bien souvent les outils sont accessibles depuis un navigateur web, et il n’y a pas besoin d’installation. Avec l’installation, les prestataires peuvent également vous proposer une formation de prise en main de l’outil. Elle peut se révéler utile pour former vos équipes, faciliter la prise en main, ou obtenir des astuces sur l’utilisation de l’outil.
Enfin, renseignez-vous également sur la maintenance. Que se passe-t-il si l’outil tombe en panne ? Si vous avez un problème ? Une erreur dans la collecte des données ?
La structuration des tarifs s’organise bien souvent autour des 3 critères suivants :
Identifier les utilisateurs de l’outil et les sujets à monitorer en amont vous permet donc d’estimer les coûts associés. Par ailleurs, n’hésitez pas à demander aux prestataires, sur un certain nombre de mots clés (marque, produits, concurrents…), les volumes de données. Cela vous donnera une première idée des volumes.
Avant de vous engager, demander la période minimum d’engagement. Généralement, il est d’une année.
Rien de mieux qu’une prise en main concrète pour évaluer si l’outil correspond bien à vos besoins et objectifs. Utilisez la liste de critères indispensables préalablement définis. Puis évaluer l’outil en fonction de cette dernière : pertinence de la collecte des données, facilité de prise en main, rapidité de l’outil, fonctionnalités qui vous seront vraiment utiles… Regardez également celles qui sont des « nice to have ». Elles pourront peut-être se révéler utiles avec le temps.
La majorité des outils de social media monitoring vous propose une période d’essai d’une à deux semaines. Si ce n’est pas le cas, n’hésitez pas à la demander.
Prenez bien en compte qu’un outil seul ne suffit pas. Pour réaliser une veille efficace et utile, il vous faudra à la fois des compétences et du temps. En interne ou en externe.
Avec ces informations, vous devriez avoir désormais une idée suffisamment complète des éléments à prendre en compte dans le choix de votre outil de social media monitoring. Comme tout choix de prestataire, il est important de se poser les bonnes questions et surtout de bien définir en amont vos besoins.
Identifier vos objectifs en termes de monitoring, les principales fonctionnalités que vous recherchez dans un outil, les impératifs pour sélectionner un outil efficace tels que la bonne collecte des données, la marge d’erreur dans l’analyse du sentiment automatisé…
Vous êtes dans ces démarches et avez besoin de conseil ?
N’hésitez pas à nous contacter !
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Si vous suivez les derniers articles et tendances, vous avez forcément vu émerger le sujet du « Big data ». Cette tendance concerne plusieurs pôles de l’entreprise et les ressources humaines n’y échappent pas !
Qu’est ce que le Big Data ? Comment en tirer parti pour le service RH ? Comment piloter un projet de Big Data ? C’est ce que vous propose d’aborder la conférence Big Data et HR Analytics, organisée par Global Business Learning Network, le 23 mai prochain.
Dans le cadre de cette conférence, Digital Insighters présente en exclusivité une étude appliquée au domaine RH. L’étude a pour objectif d’illustrer les méthodologies d’analyse des données et les apports pour la fonction RH : des insights pour orienter les stratégies RH en matière de recrutement, intégration, motivation, marque employeur, marketing RH… Le cas d’usage est volontairement orienté sur un sujet qui concerne toutes les entreprises.
On ne vous en dit pas plus, venez la découvrir le 23 mai !
Le format des tables rondes
Pour vous permettre de passer d’un rôle passif de simple public à un rôle actif de participant, GBLN vous propose un format un peu différent. Vous serez assis autour de tables rondes, plutôt qu’en style amphithéâtre et, tout au long de la journée, des sessions d’une quinzaine de minutes seront dédiées uniquement à des conversations avec votre table. Ce format vous permet d’échanger avec un maximum de vos pairs et aller plus loin que les présentations et panels.
Infos pratiques
Plus d’informations sur le programme, c’est ici.
Lieu de la conférence
L’Hôtel InterContinental Avenue Marceau
64, avenue Marceau
75008 Paris
France
Et pour réserver votre place : http://www.gblnetwork.com/inscription.html
La coupe du monde de football 2014 arrive à grands pas. Les médias en parlent de plus en plus. Les supporters suivent avec intérêt les annonces autour de la compétition. Et cette semaine, la chanson officielle de la coupe du monde est enfin arrivée sur les Internets : « We Are One (Ole Ola) ». Chez Digital Insighters, en lisant les premières réactions, on a voulu en savoir un peu plus sur le sujet. Rien de mieux qu’un petit tour d’horizon des conversations sur les médias sociaux.
Un volume de mentions en légère croissance à l’approche de la compétition
Sur les 6 derniers mois, la coupe du monde de football a généré 2,5 millions de mentions. Et ce volume augmente progressivement au fur et à mesure que la compétition se rapproche. En décembre, l’annonce des groupes engendre de fortes réactions sur les médias sociaux.
Plus de 41 000 mentions pour l’hymne officiel « We are one »
Le sujet de la chanson officielle engendre en l’espace de 7 jours plus de 41 000 mentions. C’est la sortie de l’hymne officiel, le 8 avril, qui relance les conversations. Les deux derniers jours engendrent en effet 80% des mentions sur le sujet. Chanté par Pitbull, Jenifer Lopez et la chanteuse brésilienne Claudia Leite (pour ceux qui ne l’ont pas encore écouté, vous la trouverez ici), les réactions ne se sont pas faites attendre. Et sans grande surprise, elles prennent essentiellement place sur Twitter (94%) : diffusion du lien youtube, réactions et articles s’entremêlent sur le réseau social.
Les réactions sont autant masculines que féminines. Tandis que les conversations sur la coupe du monde sont essentiellement masculines. L’hymne officiel, un moyen d’attirer le public féminin ? Oui, et ça marche.
Dans quel pays la chanson officielle est la plus discutée ?
L’hymne officiel, à peine sortie, a déjà fait le tour du monde. Ce sont essentiellement les grandes nations du football qui sont les plus concernées, et bien entendu l’Amérique latine, terre d’accueil de la compétition. Les Etats-Unis et l’Angleterre engendrent le plus grand volume de conversations sur « We are one ». Suivi par les Pays-Bas et le Brésil. A notre plus grand étonnement, la Chine et l’Inde sont également à l’origine d’une part de mentions relativement importante.
Et que pensent les internautes de cet hymne ?
Les réactions sont globalement mitigées. Les fans des chanteurs sont très proactifs. Ils relaient et félicitent leurs idoles. Pas de demi-mesure : la chanson est soit adorée soit détestée.
« Pitbull releases the official 2014 World Cup song. » …well that has to be the worst news I’ve heard in the last decade.
— (@Kylypso) 9 Avril 2014
What makes #WeAreOne a great song is @JLo‘s part #fact :’) — εlli. (@eLLiLopez) 8 Avril 2014
RT @HeyItsMaureen24: @myNUVOtv our girl @JLo did a great job again!! #WeAreOne 🙂 — NUVOtv (@myNUVOtv) 8 Avril 2014
I simply love the song #WeAreOne it’s an amazing song. I really like it. Thank you @pitbull @JLo @ClaudiaLeitte for doing such a great job!
— Lari Pérez (@LariPitbullGirl) 9 Avril 2014
« We are one » es horrible, la verdad =/ #WeWantLaLaLaBrazil2014
— тυ вσcα мι α∂ιccιóи (@AmoMuchoaShaky) 8 Avril 2014
Comme à chaque fois, l’hymne de la Coupe du Monde brule les oreilles #WeAreOne http://t.co/k7ynmZAedi pic.twitter.com/TfYBJMTMHj
— Aurélie PAULY (@Thisistarte) 9 Avril 2014
Toucher le grand public, et pas que les footeux
La coupe du monde de football est un événement international regardée dans plus de 200 pays et générant un fort engouement de la part des fans de football. Mais pas seulement. Le grand public s’y intéresse également, entraîné par leur entourage et la médiatisation de l’événement. Et beaucoup de choses sont mis en oeuvre pour les toucher. L’hymne officiel en fait partie. La FIFA s’est entourée cette année de deux stars hispano-américaines à envergure mondiale, une star brésilienne… et surtout toute une panoplie d’artistes qui participent à l’album « The 2014 FIFA world cup official anthem » : Santana, Wyclef ou encore Avicii. Des artistes qui seront donc présents pour la cérémonie d’ouverte et/ou de fermeture. Permettant ainsi de s’appuyer sur les communautés des artistes pour faire parler de l’événement.